Atelier d’écriture
Poursuivre l’amorce suivante : « Mes bottinnes . . » (aujourd’hui, on dirait le « prompt »)

Une réponse possible est « Im possible » développement considérant
la faute d’orthographe volontaire comme une contrainte oulipienne . .
hmm . .

Mort d’un poème

Mes bottinnes à deux haines, sans fermeture Eclair,
La tête en bas, les pieds en face des trrous à deux airs,
Je voyais défiler le trotooir aux deux eaux.

Plus rien ne marchait dans cette poche.
Plus rien ne chopait sur ces marches.

Gabardddddine à cinq dés, pour s’encombrer les poches,
Tous les six doigts coincés dans l’Ecllair à deux ailes,
Je voyais défiler l’over-pprose à deux pets.

Plus rien ne rimait sans le clinamen.
Plus rien ne sonnait dans mon haïku.

Mon grand c’apeau sans hache me coiffait le regard.
Mes douzes pieds léonins dans mes bo’ines sans thés,
Je voyais défiler toute ‘a vie, sans qu’elle m’aime.

Plus rien n’expirait du souffleur de pieds.
Plus rien n’enivrait après son dernier vers.

JEF & z^k
(wikisé sur le Wikriture)